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    Life Worth Living

     ♣ La Vie Vaut D'Etre Vécue ♣

    Introduction+Présentation

     

    "Sitôt que les hommes sont en société, ils perdent le sentiment de leur faiblesse ; l'égalité qui est entre eux cesse, ou l'état de guerre commence." Montesquieu

     

    Accroche:

     

    Ceux qui ont une belle vie : ils sont riches, heureux, possèdent tout ce qu'ils veulent et ne se préoccupent pas d'autrui. Puis il y a ceux qui ont une vie de misère : ils sont pauvres, malheureux et ne peuvent pas avoir tout ce que qu'ils veulent. Je fais partie de la dernière classe mais j'ai appris une chose dans ma vie c'est qu'importe dans quelles classes nous nous trouvons ou comment nous sommes. Le plus important c'est d'être soi-même et se sera à ce moment-là que plus personne ne se souciera dans quelles classes nous sommes. C'est pour cela que je vais vous raconter mon histoire ; celle d'une jeune fille qui ne croyait plus au rêve, à la vie et à son existence même et viens alors une personne qui lui redonnera goût à la vie !

     

    Si tu veux être prévenu c'est ici 

     

     


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    Chapitre 1: La Rentrée !

     
     

    Je n'ai jamais été une fille exemplaire. Je vis au jour le jour sans me préoccuper de mon avenir. Mais mon passé, lui, sera toujours présent quelque part dans mon cœur.
     

    Je vis avec mes parents dans le quartier le plus pauvre de la ville car nous n'avons pas assez d'argent pour vivre dans un quartier dit "normal". Je ne déteste pas cette vie, au contraire, je l'aime bien malgré ses inconvénients.
     
    Layla, ma mère, travaille en tant que bibliothécaire et gagne juste assez pour qu'on puisse subvenir à nos besoins. Quand j'étais petite, j'adorais me rendre à la bibliothèque pour lire tous ses livres. Cela était en quelque sorte mon petit monde rien qu'à moi qui le permettait de voyager dans d'autres mondes. Mon père, Jude, est au chômage. Si je me souviens bien, je ne l'ai jamais vu travailler, ne serait-ce qu'une seule journée. Il passe toutes ses journées à boire et à fumer. Du coup, notre relation est devenue très froide et distante. Enfin, il y a moi, Lucy, une jeune lycéenne de dix-sept ans qui essaye de trouver sa place dans la société.
     
    Je marchai dans les rues ensoleillées de Magnolia, les bourgeons des cerisiers fleurissaient, une brise légère soufflait et les oiseaux chantaient de belles mélodies. Une belle journée de printemps quoi ! Je me rendis au lycée Fairy Tail pour le début d'une nouvelle année scolaire. Mon sac à la main, je marchai d'un pas assuré tout en priant que cette année ne soit pas comme les précédentes. Le lycée est pour moi comparable à l'enfer, je n'ai aucun ami. Depuis le collège, on se moque de moi à cause de mon statut social. Du moins, on se moque de moi seulement à Fairy Tail. Dans mon ancien établissement on me respectait. Tout le monde avait peur de moi. On me considérait comme une délinquante. On me fuyait mais au moins j'avais ma bande d'amis, on était inséparable. Alors que maintenant, même si les gens me fuient comme la peste, je n'ai pas d'amis. Aucun. Tout cela à cause d'un gars qui a découvert, il y a trois ans lors de mon aménagement, notre maison. Depuis, la plupart des élèves se moquent de moi. Du jour au lendemain, je suis devenue la risée du collège. Même si maintenant je suis au lycée, leur comportement n'a pas changé. Au début, je me sentais humiliée puis les mois ont passés et à présent, leurs moqueries et insultent dans une oreille et en ressortent par l'autre. En gros, je n'en ai rien à faire.
     
    Comme d'habitude, pour me rendre plus vite au lycée, je passai par un parc. Quelques personnes font leur jogging matinal et des parents emmènent leurs enfants à l'école. Je souris en voyant ses enfants excités de retrouver leurs amis. C'est à ce moment que je sentis quelqu'un derrière moi. Mon cœur loupa un battement et un frisson traversa mon corps. Je tenai fermement mon sac. Si par hasard cet individu tentera de m'agresser, je lui balancerai mon sac. Soudain, je sentis quelqu'un poser sa main sur mon épaule. Mes yeux s'écarquillèrent et je sursautai en même temps. J'aggripai mon sac des deux mains et le projetai d'un coups sur la figure de ce type qui tomba à la renverse au sol. Je baissai les yeux au sol et aperçu une chevelure rose. Je lâchai un soupir et ramassai mon sac.
     
     - Oh, ce n'est que toi... déclaré-je d'un ton las tout en reprenant mon chemin.
     
    Ce stupide gars m'a foutu une de ces froissés ! Quel idiot ! D'ailleurs que fait-il ici ? Argh ! Ça m'est égal ! Je dois faire vite sinon je serai en retard.
     
    - Hey ! s'exclame-t-il derrière moi.
     
    Je ne réponds pas. Je l'entends courir derrière moi pour me rattraper. Il déteste quand on l'ignore mais si je réponds, je sens que ça va mal finir. Alors je préfère l'ignorer.
     
    - Hey ! répète le lycéen en s'arrêtant devant moi. T'entends pas quand je t'appelle ?
    - Laisse-moi passer !
     
    Il ne bougea pas d'un poil. Je déteste ce mec ! Toujours là pour m'emmerder ! C'est tout ce qu'il sait faire de toute façon.
     
    - Tiens, t'es énervée ? s'interroge-t-il d'un ton moqueur.
    - Ça suffit ! crié-je. Qu'est-ce que tu veux Natsu ? Quand est-ce que tu vas arrêter de faire le gamin ? Tu as dix-sept ans ! Réveille-toi bon sang !
     

    Je le poussai pour pouvoir passer et je partis sans lui laisser le temps de répondre. Ce gars m'insupporte. Sa présence me rends dingue. J'espère juste que cette année je ne sois pas dans sa classe. Depuis que j'ai intégré le lycée Fairy Tail, je suis dans sa classe.

     

     

    * * * 

     

     

    La grille du lycée était déjà ouverte. Je m'empressai de rentrer et je me rendis vers le panneau qui affichait les listes des classes. J'essayai de trouver mon prénom dans ces listes, sans succès. Après de longues recherches, je parviens enfin à le trouver, avec beaucoup de difficulté à cause du grand nombre de personnes présentent devant moi. En scrutant plus intentivement la liste, je vis son prénom : Natsu Dragneel. Alors là, ce n'est pas le hasard ! Je suis sûre que quelqu'un me maudit ! Je bouillonai de rage et une aura noir m'enveloppai. Sans rien dire, je m'éloignai du panneau et je partis rejoindre ma classe. En entrant, je laissai un regard à travers la salle. Tout le monde me regardait, je me rendis compte que je connaissais plus de la moitié d'entre eux mais des visages restaient inconnus. Ça ne pouvait pas être pire ! Je pris place dans un coin au fond de la salle. La porte s'ouvrit et laissa place à une petite personne. Elle s'avança en sautillant jusqu'au bureau.

     
    - Bonjour à tous et à toutes ! Je serai votre professeur principal cette année. Alors je me présente, je suis Mme Vermilion.
     
    Cette enseignante est magnifique, sa longue cheveulure blonde lui arrivait jusqu'au bas du dos et ses yeux de couleurs émeraude hypnotisaient toutes les personnes qui la regardaient. Je ne pouvais pas détacher mes yeux d'elle. Ça petite taille gâchait un peu sa beauté. Je trouve qu'elle est sympathique contrairement à l'an dernier où j'avais une vieille folle qui adorait tourner en rond !
     
    - A présent, asseyez-vous où vous voulez. Nous allons commencer.
     
    Je le savais, tout le monde m'évite. Ils se sont placés de manière à ce que la chaise qui se trouve devant moi et à côté de moi soit vide.  De toute manière, je m'en fous pas mal qu'on m'évite ou pas. Mais c'est bizarre, je ne vois nul part la tête brûlée de Natsu alors qu'il m'a croisé ce matin sur le chemin. Tant mieux, il y aura moins de problème ainsi.
     
    A ce moment, quelqu'un entra dans la salle. Je levai les yeux et l'aperçu. En fin  de compte, il est venu. Tout le monde le regarda, pas de la même manière dont ils m'ont regardés. Ils m'avaient dévisagés mais à présent leur regard exprime plutôt de l'admiration qu'autre chose. Pourquoi ? Pourquoi l'aiment-ils autant ? Qu'a-t-il de si spécial ? Rien ! Alors pourquoi est-il si populaire ? Je ne comprends pas ces gens. Le bruit de la chaise à côté de moi me fit sortir de mes pensées. Je tournai mon visage à droite, il était entrain de s'asseoir à côté de moi. Je lâchai un long soupir et je me retournai de nouveau vers la fenêtre pour regarder le ciel. Cet immense étendu bleu est magnifique et cache d'innombrables secrets que même les scientifiques n'arrivent pas à trouver. J'aime regarder le ciel, ça me permet de m'évader, de voyager tel un somptueux aigle, d'être libre ! Mme Vermillion commença à parler. Elle nous rappela le règlement et les différents projets que nous allions réaliser. L'heure passa assez lentement et la sonnerie retentit après quelques heures. Je vais pouvoir sortir d'ici et rentrer le plus rapidement chez moi car le jour de la rentrée, nous avons seulement deux heures de cours avec notre professeur principal pour qu'elle nous explique le déroulement de l'année. Et demain, les cours commenceront. Je pris mon sac, rangeai mes affaires et je sortis de la salle le plus vite possible sans réellement me soucier de ce que disait l'enseignante.
     
    Le trajet pour rentrer chez moi prenait environ vingt minutes si je faisais le tour du parc mais si je le coupais comme ce matin, il prendra seulement dix minutes. Je m'y rendais à pied car posséder une carte de transport coûte beaucoup trop chère pour mes parents.
    En passant la porte de la maison, j'aperçois ma mère en train de cuisiner.
     
    - Oh, ma chérie, tu es rentrée ! Comment s'est passée cette rentrée ?
     demande ma mère en goûtant la sauce.
    - Comme toutes les autres fois, dis-je simplement.
     
    Je laissai ma mère dans la cuisine et montai les escaliers pour atteindre ma chambre. Je déposai mon sac sur le sol et je m'allongeai doucement sur le lit. Ah, ça fait du bien de se reposer un peu ! Soudain, j'entendis mon père m'appeler. Je ne l'avais pas vu en entrant. Je descendis en courant les marches de l'escalier pour arriver au salon le plus vite possible. Il était assis sur le canapé avec une bouteille d'alcool dans une main et une cigarette dans l'autre. L'odeur du tabac empestait dans tout le salon. Et en plus, il pue l'alcool. Je déteste cette odeur, elle me donne envie de vomir.
     
    - Lucy ! Ramène-moi le repas ! bredouille mon père.
     
    Sa voix était indistincte. Il doit être ivre. Je m'exécutai alors en allant voir ma mère dans la cuisine. Je lui demande si le repas est prêt car papa le réclame.
     
    - Non, ma chérie, il n'est pas encore prêt.
     
    Du coup, je suis repartie au salon. Il était toujours assis dans la même position. Je m'approcha prudemment de lui.
     
    - Hum... Le repas n'est pas encore prêt... déclaré-je d'une faible voix.
     
    Il redressa son visage et croisa mon regard. Il pencha légèrement sa tête à gauche et libéra la fumée de sa cigarette emprisonnée dans sa bouche.
     
    - Quoi ?
    - Le repas n'est pas encore prêt, répétè-je un peu plus fort.
    - Comment oses-tu me répondre ?!
     
    Il se leva d'un coup du canapé ce qui me fit sursauter et il s'approcha dangereusement de moi. En entendant un cri, ma mère accourut au salon. Elle poussa un cri en voyant mon père me battre. Sa bouteille s'était fracassée sur moi, le choc m'avait fait tomber au sol. Les bouts de verres m'avaient tranchées. Oh mon dieu, du sang coulait et mon corps me faisait mal. J'entendis ma mère crier. Sa voix était imperceptible à cause du sang qui coulait en traversant mon oreille. Non, ne viens pas ! Il va s'en prendre à toi ! Voulu-je hurler mais aucun son ne sortit de ma bouche. Soudain, je sentis une main m'agripper mes cheveux et me les tirer de toutes ses forces. Ma chevelure s'apprêtait à être arrachée. Je poussai des cris mais il ne cessa pas. Par habitude, j'attrapai sa main pour que la douleur soit moins intense. Les larmes me montèrent aux yeux. Mon corps hurlait de douleurs. Qu'ai-je fait pour mériter ça ? Ma mère hurlait sur mon père. Elle lui demandait d'arrêter, de me laisser tranquille, qu'un père ne peut pas faire ça à sa fille. Mais lui ne l'entendait pas de cette oreille. Soudain, il s'arrêta net. Je toussais de peur sans pouvoir m'arrêter. Je versa un torrent de larmes. L'ombre de mon père passa devant moi et se dirigea vers ma mère. Il l'attrapa violemment par le cou. Malgré le fait que mon corps ne me réponde plus, je me levai avec peine et je m'approcha de lui. Je l'attrapai par le bras, espérant qu'il arrête mais il me gifla et mon corps s'effondra sur le sol dans un bruit sourd.
     
    - Pourquoi le repas n'est pas encore prêt ?! Que fais-tu depuis ce matin ? rétorque-t-il.
    - Chéri... Lâche-moi s'il te plait... Je ne peux plus respirer...
     
    J'étais impuissante face à mon père. Le visage de ma mère devenait de plus en plus pâle, s'il continue, elle va suffoquer ! Je ne pouvais pas perdre ma mère ! J'ai assez perdu d'être chers !
     
    Tout à coup, il lâcha ma mère qui s'écroula au sol. Mon père s'en alla en claquant la porte de la maison comme si de rien n'était. Malgré la douleur de mon corps, je partis la voir et l'aider à se relever.
     
    - Tu vas bien maman ? m'empressé-je de demander.
    - Oui ma puce. Toi par contre tu es blessée, il faut que je te soigne.
     
    La trousse de secours se trouvait dans la salle de bain, à l'étage.  Ma mère y monta avec beaucoup de difficulté. Elle me demanda de rester posée sur le canapé le temps qu'elle aille chercher la trousse. Je regardai l'ampleur des dégâts, mes bras étaient recouverts de coupures avec, pour quelques unes, les morceaux de verre. Le liquide écarlate coulait de toutes parts. Je ne serai même pas suprise de m'évanouir. Quelques minutes apres, ma mère revint avec la trousse de soin et s'agenouilla avec peine devant moi. Elle désinfecta les égratignures peintes sur mon corps. Le produit picotait au contact des blessures mais ma mère essayait de me soigner le plus délicatement possible pour ne pas me faire mal. Mon père était toujours violent avec nous. Il se met en colère pour tout et n'importe quoi mais ses derniers temps, il est devenu extrêmement violent. Oui, on peut dire que j'ai peur de mon père. J'essaye de ne pas le montrer, c'est pour ça que parfois je suis froide. Ma mère et moi essayons de communiquer le moins possible avec lui mais ça se termine toujours en dispute.
     
    - C'est fini, déclare ma mère en me regardant. Je suis vraiment désolée Lucy. C'est toujours toi qui reçoit les coups à ma place. Je ne sais plus quoi faire pour qu'il arrête. Je t'assure qu'avant il n'était pas comme ça. Il a complètement changé...
     
    Les larmes inondaient son visage. Je détestais la voir dans cet état. Tout ceci à cause de mon père ! Un sentiment de rage m'enveloppai, malheureusement, je ne pouvais rien faire contre lui.
     
    - Ne t'inquiète pas maman. Un jour, la liberté nous tendra sa main.
     
    Elle arrêta de pleurer et me dévoila un magnifique sourire digne de Layla, la Layla que je connaissais. Elle m'enlaça, à ce moment-là,  je ressentis une vive douleur traverser mon dos qui me crispa. Ma mère se releva, toujours en souriant, et s'en alla vers la cuisine. Elle n'a rien remarqué, tant mieux ! À mon tour, je me relevai et me dirigeai avec peine vers ma chambre. Je m'appuyai sur la barre des escaliers pour m'aider à monter les marches. J'ouvris la porte de ma chambre à l'aide de mon poids et je me précipitais vers le miroir en manquant de trébucher. Mes yeux s'écarquillèrent en voyant les ecchymoses et égratignures sur mon dos. 
     
    Je passai délicatement mon index dessus, je crispai une deuxième. C'est sûrement arrivé quand mon père m'avait frappée avec ses poings et la bouteille qui a été fracassée sur mon corps. Je soupirai en baissant mon top noir. Je ne peux rien faire, à part attendre que ça se guérisse. Je regardai mon visage à travers le miroir. J'avais une de ses têtes... Me cheveux blonds étaient lâchés et décoiffées. Il y avait un pansement sur le côté droit de mon visage. Demain, je ne pourrais pas partir avec ce pansement en cours. De toute façon personne ne le remarquera puisque je n'ai pas d'amis. Mais d'un autre côté, on pourrait croire que l'on me frappe, même si c'est vraiment le cas, avec ce pansement et toutes ses marques partout sur mon dos...
     
    Je descendis en bas pour aider ma mère en cuisine. Elle avait presque fini, je décidai alors de mettre la table. Je dinais avec ma mère. Mon père n'était toujours pas arrivé mais nous étions habituées à manger seules. Une fois le repas terminé, je débarrassai la table laissant ma mère seule allongée sur le canapé du salon.
     
    - Maman ? Tu vas bien ?
    - Oui, je vais bien, ma puce, répond-elle
    - Tu es sûre ? Tu es toute pâle ! m'esclamé-je en posant ma main sur son front.
    - Je suis juste un peu fatiguée à cause de ce qui s'est passé tout à l'heure.
     
    Je la regardais, je savais que quelque chose n'allait pas. Elle ne voulait pas me le dire. Je décidai de ne pas trop insister. Je montai à l'étage et pris une douche froide. Une fois habillée, je partis me coucher car je sens que demain sera une longue journée. 
     
    Je me réveillai en sursaut. L'horloge affichait quatre heure du matin. Une porte claqua et j'entendis un personne crier. Mon père était revenu. 
     
     
     
    Chapitre 1: La Rentrée !
     
     

    Chapitre 1: La Rentrée !

     

     

     
    La nouvelle version du chapitre 1 est en ligne ! J'espère qu'il vous aura plu ! Laissez-moi vos avis même un petit mot me ferait tellement plaisir, même vous les visiteurs non inscrits ! ;)
     
     
     

     

     


    82 commentaires
  • Mise à jour 26.05.15

     

    Bonjour les amis !

    Alors, en ce jour, le mardi 26 mai 2015, Bidge reprend le blog sous le nom de Walaxia ! De nouveaux écrits apparaîtrons sur Fairy Tail ! La plupart de mes écrits ont été mis sous protection car pour l'instant, ils ne sont pas disponible ! Je mettrai les nouveautés très bientôt ! Sur ce, je vous remercie de votre fidélité ! ♥

     

    • Walaxia • 


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